Un enfant qui ne termine pas son assiette, des restes de nourriture qu’on oublie un peu trop longtemps dans le fond du réfrigérateur, des fruits et légumes achetés en trop grande quantité qui finissent par marcher seuls…
La saison de la grippe est à nos portes. Il est possible de faire quelques changements au quotidien à nos habitudes afin de l’affronter et de rester en santé.
De nos jours, nul n’ignore l’importance de bien manger pour être et rester en santé, ce qui, en soi, est une excellente chose, à condition bien sûr de ne pas laisser cette pensée prendre le dessus et contrôler nos vies.
En renforçant notre système immunitaire par une bonne alimentation, on influence positivement notre santé et quoi de plus réconfortant qu’une bonne boisson chaude!
Nos habitudes de vie ont été transformées durant la pandémie et, pour certains, c’est au niveau du revenu familial que l’adaptation a été la plus grande. Bien nourrir sa famille demeure primordial, mais comment y arriver à petit prix?
Il y a le « slow food », un mouvement qui nous invite à découvrir les origines et les conditions de production des aliments consommés. Et si on pratiquait aussi le « slow taste », l’art de savourer chaque bouchée?
Plusieurs façons existent pour s’impliquer davantage dans l’achat local. Voici quelques idées pour intégrer les aliments et produits d’ici à notre quotidien.
Il fait chaud. Très chaud. Vous vous échinez à cuisiner de bons petits plats et pourtant rien n’y fait : Mini refuse de manger. Quand doit-on s’inquiéter et comment éviter qu’il ne manque d’énergie ou d’éléments nutritifs?
L’après-midi va bon train, il fait beau, les enfants s’amusent avec papa, maman se repose avec un bon livre... et peut-être même un petit verre de rosé. La journée s’écoule et on entend finalement les mots que certains parents redoutent : « J’ai faim! »
Connaissez-vous la diversification alimentaire menée par l’enfant (DME)? Il s’agit d’une approche d’introduction des aliments où le bébé s’alimente seul sans passer par l’étape des purées. Comment faire? Par où commencer?
Le nombre de régimes et de produits sans gluten disponibles pourraient faire croire que la maladie cœliaque et la sensibilité au gluten sont une mode. Cependant, il s’agit de conditions sérieuses et complexes qui méritent d’être comprises et démystifiées.
Alors que plusieurs se fixent de nouveaux défis en janvier, ici c’est en mars, lorsque le printemps se fait sentir que j’ai le goût de nous donner, à moi et ma famille, un nouveau départ. Cette année, sans dépenser plus, je veux mieux manger.
Des chercheurs en produits alimentaires de l'université du Kansas ont réalisé une étude pour déterminer précisément la durée de vie des caramels, bonbons et chocolats.
Une étude publiée en août 2007 dans le journal américain de nutrition clinique explique que la « néophobie », c'est-à-dire la peur de goûter de nouveaux aliments, a la plupart du temps une origine génétique.
Le code sans noix disparaîtra-t-il des écoles? Avec le temps, le problème des allergies alimentaires se transforme. De plus en plus d’enfants en développent, et en même temps, de plus en plus d’allergènes font surface. Que faut-il faire pour bien composer avec cette réalité?
On estime que d’ici 2050, la planète devra nourrir 10 milliards de bouches. Un bien gros contrat pour une si petite terre dont les principaux garde-mangers sont mis à rude épreuve par notre consommation effrénée.
Fini les régimes et les relations malsaines avec les aliments. L’alimentation intuitive vous incite à retrouver le plaisir de bien manger, de faire de l’activité physique, d’apprécier votre corps tel qu’il est et d’apprendre à gérer votre poids sainement.
Éviter les éléments transformés, réduire les mauvais gras, manger plus de grains entiers… Les conseils nutritionnels pullulent de toutes parts. Pour certaines personnes plus informées que jamais, cette volonté de bien manger tourne à l’obsession.
Plusieurs articles ont déjà été écrits sur le sujet et il semble que tout a été dit! Permettez-moi d’ajouter mon grain de sel en vous racontant comment je vis ma vie de beau-père.
Petits, il y a le co-dodo qui facilite l’allaitement et la création de liens. Mais qu’arrive-t-il quand à 2, 4 ou même 8 ans nos enfants dorment encore avec nous? Explications avec une psychologue.
Vos enfants vous admirent et vous imitent. Êtes-vous un exemple à suivre? Un symbole de bonheur ou d’aventure? Qu’est-ce qu’être une idole pour vous? Pour eux?